Les universitaires, sanctuaires de la connaissance et berceaux de projets parfois tangibles, parfois utopiques, sont aussi des lieux pittoresques. Faisant suite à la première partie, consacrée aux origines médiévales de l’université dont les traces se voient encore dans l’architecture et le protocole des établissements séculaires, la deuxième partie mettra  l’accent sur la formation des cultures nationales au XIXe et au XXe siècles, qui a imposé le notion de progrès aux abords de celle  d’universalité du savoir, d’où l’apparition d’un nouveau type d’environnement architectural et ornemental.